Lente progression !!!! Juillet ....toujours en Hte Savoie
22 juillet :
Le Mont Forchat 1539m, situé au cœur de la vallée verte.
Départ juste au dessus du Chardet en direction le col des Moisses 1080m.
Une lente progression sur un beau chemin forestier laisse une belle vue sur Habère Poche et sa vallée verdoyante,
direction les granges de Mamet d’où l’on aperçoit le Mont Forchat reconnaissable à la statue de Saint François de Sales qui veille jalousement sur la foi des chablaisiens depuis 1898. Ce large chemin est tracé dans la campagne à vaches où l’on peut croiser des tarrines habituées aux randonneurs.
Celle ci n'apprécie pas la photo.....
Le soleil voudrait bien faire son apparition mais il a beaucoup de mal à percer la couche nuageuse fort épaisse.
Le sentier, de plus en plus raide, serpente alors en forêt jusqu’au col de l’Encrenaz.
Une petite pause bien méritée permettra déjà une belle vue sur le Léman.
La brise légère agite doucement quelques fleurs à clochettes comme pour les libérer de leurs perles de diamant posées délicatement par les pluies de la veille.
L’ascension finale devient un vrai raidillon au milieu des fleurs et des gentianes.
Le but est atteint......
L’arrivée au sommet est grandiose, malgré sa faible altitude c’est un belvédère magnifique, un 360° qui s’offre à nous, un large point de vue sur le Léman de Genève à Montreux mais aussi sur le Chablais. Bien que le soleil nous gratifie de quelques rayons le ciel n’est pas suffisamment dégagé pour voir le toit de l’Europe.
Pour le plaisir des yeux nous resterons quelques instants à contempler ce magnifique panorama, là règne calme et plénitude, malgré les randonneurs et les vététistes.
Tel que le Mont Billat
Ou le Roc d'Enfer, dans le nuages avec Roche Mota en avant plan
Descente rapide au col de l’Encrenaz puis légère montée en terrain humide, enfin direction le col de Moisses.
Le sentier devient plus pentu et dessine de grands lacets serrés et glissants, en forêt, avant de rejoindre le creux de la Marlat et le col que voici.
Plus que cinq cents mètres de route et nous voilà au point de départ.
23 juillet
Une petite balade en voiture vers la Vallée d'Abondance.
Le petit village de La Forclaz (au dessus des gorges du Pont du Diable)
Les chalets de Tréchauffex après le col du Grand Taillet.
De là haut on peut contempler la face sud du Mont Billiat et la montagne des boeufs.
Du col du Grand Taillet se dresse fièrement la dent D'oche précédée par la château d'Oche.
Après Abondance direction les lac des Plagnes.
Une minuscule chapelle très fleurie.
Le Mont Chauffé face sud.
Les Cornettes de Bises depuis la Chapelle d'Abondance.
25 juillet
La Pierre Avoi 2473m (Suisse)
Les discussions sur le point de départ vont bon train, nous ne voudrions pas faire trop de dénivelé, pas encore assez d’entrainement….
C’est décidé nous partirons sous le téléphérique. Mais arrivé là !!! la route continue nous l’emprunterons donc en direction de la Croix de Cœur 1980m. Super le parcours sera moins fatiguant…
C’est un pic rocheux insolent des Alpes Valaisanne qui se dresse fièrement au dessus des alpages et du coude du Rhône.
L’ascension est facile au milieu des pâturages pour atteindre la Croix de Cœur. Le temps est mitigé, la brise fraiche et vivifiante.
On poursuit par Savoleyres,
puis par un large sentier en crête on atteint le col de Marlena 2315m qui nous conduit le long de la face rocheuse.
On accède en quelques minutes au sommet en empruntant des échelles, des marches taillées dans le roc ou bien à l’aide de câbles. Accès sécurisé ne présentant pas de grandes difficultés, mais il ne faut pas être trop sujet au vertige.
C’est une randonnée spectaculaire en ce qui concerne son environnement immédiat. La vue
sur le massif du grand Combin et du Mont Blanc s’offre à nous, un vrai théâtre de la nature.
Un court repos au somment pour admirer l’environnement et nous descendrons rapidement.
Repas pris à l’abri du vent qui nous transperce puis descente rapide vers nos voitures, le ciel laissant couler quelques larmes inoffensives.
Une randonnée conviviale que tout le monde a apprécié, guidée par Michèle et Oscar suivi des Nantais et de Jacqueline.
26 Juillet :
Le bisse du Torrent neuf ou de Savièse, construit en 1430 et mis en eau pour la dernière fois en 1934.
La météo semblait fort incertaine. Faut-il la croire ???
Nous partons tout de même, il fera sans doute beau dans le Valais….
Direction Savièse et le parking prévu pour faire le Bisse.
«Un bisse : Canal d'irrigation, creusé dans la terre et le roc ou fait de planches de bois soutenues par des poutres fixées au roc à flanc de montagne, servant à amener l'eau de la fonte des glaciers ou des torrents dans les vallées et à la distribuer sur les différentes surfaces cultivées (prés, champs, vignobles, vergers, jardins, etc.) ».
L’Association pour la Sauvegarde du Torrent-Neuf a été créée afin de redonner vie à ce bisse vieux de 500 ans. Un chemin sera établi sur plus de 4 kilomètres, deux tronçons seront remis en eau, des aménagements didactiques seront installés et permettront d’observer les vestiges conservés malgré les assauts du temps.
C’est une randonnée facile, originale et assez aérienne permettant de parcourir le flanc sud du Prabé.
Suivez nous....
Départ de la randonnée en sous bois, le long du bisse
avec le doux murmure l’eau qui passe parfois dans des tunnels
et que nous suivons jusqu’à la Chapelle Ste Marguerite.
A côté, la buvette.
Il va falloir être vigilants..... et pour cause....
De là on accède au parcours thématique offrant ainsi reconstitutions et infrastructures extraordinaires pour tenter de comprendre ce parcours ancestral.
On se lance sur un chemin étroit qui rentre dans le vallon du Sanetsch, parfois creusé à flanc le rocher parfois accroché à la paroi.
Les passerelles métalliques suspendues dans le vide, se succèdent et sont de plus en plus longues : 85m, puis 97 et enfin 137, une véritable symphonie visuelle très sécurisée permettant ainsi aux personnes atteintes de vertiges d’y accéder sans trop de difficultés.
On tangue un peu....
Celle-ci était la plus courte.... mais comme vous pouvez le voir très sécurisée....
Et nous voilà face au nounour.... Selon la légende, un ours aurait rattrapé un travailleur qui était tombé par une planche cassée, lui sauvant la vie. Dès lors, l'ours est considéré comme protecteur du Bisse.
Deuxième passerelle, encore un peu plus longue..... 97m
Et enfin la troisème... 137M
C'est un magnifique travail de remise en état entrepris pas l’association, qui d’ailleurs va encore prolonger ce circuit. Il est fascinant d’imaginer les difficultés rencontrées par nos ancêtres pour construire un tel ouvrage.
Chemin dans la roche et point de vue.
Après un arrêt à la nouvelle petite chapelle du Torrent neuf prendre le chemin du retour qui se fait en sens inverse, il faut donc retraverser les trois passerelles. Au retour rencontrerons pas mal de monde.
Repas de midi confortablement installés sur un banc à mi parcours. La pluie tant prévue ne viendra pas troubler notre balade, il fait une température raisonnable nous permettant de poser nos polaires. Un moment de convialité.
Et c'est le retour....
Arrêt à la buvette et via Sallanches.
Nous terminerons la soirée aux Paccots devant le verre de l’amitié et ensuite partie de belote.
Merci Michèle et Oscar pour cette excellente journée nous avons beaucoup aimé ce parcours thématique que nous ne connaissions pas, dommage nos amis Nantais n'étaient pas là.
30 juillet
La dent de Verreu 1901m (randonnée avortée)
C’est par un temps mi-figue mi raisin que nous partons direction Samoëns puis le cirque de Fer à Cheval, après quelques kilomètre bifurquons sur la gauche pour attendre le petit village du Mont (980m). Dès notre arrivée les nuages ont entamé un ballet ne nous permettant de voir les sommets.
Traversons le petit hameau, tranquille et plein de charme du Mont avec son agréable chapelle et son petit four à pain (jadis les villageois des hameaux environnants montaient en procession ici pour obtenir de la pluie en été lors des rogations)
Poursuivons par un large chemin pierreux qui monte doucement en grands lacets dans la forêt d’épicéas pour atteindre la ferme du Praz sur le Mont (1297m) qui fait aussi buvette.
Le sentier se fait alors beaucoup plus étroit mais surtout très boueux, difficile de progresser dans cette terre glaise glissante, c’est à pas hésitant que nous arrivons dans les premiers alpages. Que faire ? D’autant plus que les nuages s’agrippent de plus en plus au sommet.
Sage décision, nous redescendons… avons fait environ 600m de dénivelé, petit entrainement n’est-ce pas ?
Descente périlleuse…. glissade au programme pour certain, je ne les nommerai pas !!!!
Mais l’escorte des biquettes est là, acceptant caresses et gratouilles au passage.
Arrivée à la chapelle de belles pierres sont là pour poser nos petites fesses et c’est l’heure du repas. Rien ne manque apéro pour commencer offert par Michèle et pour finir génépi offert par Jacqueline.
Passerons par Marnaz chez Oscar : café, thé et gâteaux au programme.
Pour ne pas perdre l’habitude terminerons la soirée par une partie de belote acharnée.
31 juillet
Belvédère d’Aujon
Départ vers 9h direction Flaine (1580M). L’on ne peut, à mon avis, que rester perplexe devant cette station toute bétonnée et ses nombreuses remontées mécaniques, mais nul doute que les amateurs de « grand ski » adoreront….
Prendre le sentier fléché au départ de la télécabine du l’Aulp de Véran, l’on monte alors en forêt par le domaine skiable. Nous nous trouvons sur le trajet de la « Rando d’or » des Carroz, de nombreux vététistes, déjà bien crottés, nous dépassent, à pied ou à vélo, mai hélas ils ont encore 3000m de dénivelé à faire et presque 60km.
Un petit sentier tournicote dans les alpages jusqu’aux chalets d’Aujon.,
la flore des montagnes s’y exprime à son aise et se décline en de nombreuses couleurs éclatantes.
De là nous nous pouvons découvrir l’ensemble de la station qui n’est pas un modèle d’intégration d’architecture dans un milieu montagnard.
Un faux départ vers la droite sera l’occasion de galérer un peu, parmi des lapiaz parsemés dans une végétation de rhododendrons ou de myrtilliers,
puis sur un vase lapiaz dépourvu de tout repère tant il est uniforme.
Mais un balisage rouge libère notre esprit, il est alors impossible de se perdre.
A la surface de ce sol calcaire se produit un phénomène d'érosion appelé "lapiaz". Il s'agit d'une action chimique, et non mécanique, qui entraine cette érosion dont le résultat est la sculpture des roches en plus ou moins profondes rainures, rigoles et gouffres. Suivant le degré de pente, ces rainures prennent la forme de vaguelettes de différentes tailles, parfois très acérées.
Durant tout le franchissement du chaos nous restons vigilants et concentrés sur notre marche afin d’éviter les pièges et de tomber dans une crevasse.
Au belvédère sommes récompensés, la vue est splendides et les falaises impressionnantes, mais pas aussi dégagée que nous l’aurions voulu.
La plongée sur Magland et la vallée de l’Arve, 1500m, n’est salutaire que pour les yeux.
Les « gnoles » sont là, barrant parfois l’horizon et étreignant Areu et la Pointe Percée comme pour mieux les cacher.
La place ne manque pas nous chercherons des rochers adéquats pour piqueniquer au sec…le terrain étant encore très humide.
Le pilier de la croix de fer nous tend les bras…mais personnellement elle ne me tente pas réellement. Le passage semble pas mal exposé avec vires herbeuses encore fort détrempées par les fortes pluies de la semaine dernière, puis il faut penser à notre ancien qui ne pourra pas y accéder.
Malgré la faible altitude la température n’est pas très agréable, la brise souffle, nous redescendrons rapidement toujours en assurant nos pas.
Un petit arrêt buvette à Arraches.
Encore une fois la soirée se terminera aux Paccots, soirée pizzas et belote.
31 juillet :
Les rochers de Leschaux.
Classique depuis Solaison, mais notre but est de faire une petite balade et de régaler nos papilles au restaurant du plateau…. « bougnettes » au menu bien entendu !!!
Nous partons donc par le « mauvais pas » direction col de Cenise.
Un petit incident de parcours, Margot craint l’itinéraire et se retourne avec Maryvonne. Nous poursuivons par un sentier pierreux et glissant où de nombreuses racines noueuses et récalcitrantes ralentissent notre progression, belles vue sur Solaison et la Pointe d'Andey ou les falaises qui nous surplombent.
Le sentier devient plus hard, toujours très glissant mais des câbles sont là pour nous rassurer. La progression est lente et nous devons arriver au restaurant de >Rhodos avant 13H.
Nous décidons donc de raccourcir le parcours e de redescendre par « la Glacière ».
Toujours pas de Maryvonne en vue, elle n’est surement pas remontée car elle marche très vite et aurait du déjà nous rejoindre. Nos téléphones restent muets, nous amorçons donc la descente.
Celle-ci devient très périlleuse, les rochers sont glissants, nos semelles terreuses ressemblent à des savonnettes et nous avons beaucoup de mal à faire confiance à nos pieds….
Dur dur malgré les cordes posées là pour sécuriser l’itinéraire. La déclivité importante, terrain gras et accidenté n’est pas très rassurant, Oscar et Serge ont quelques difficultés et leurs genoux et chevilles sont mis à rude épreuve.
Nous voilà à « la Glacière » un énorme trou où la neige reste tout l’été et où il fait froid, d’où le nom.
Nous continuons, toujours en sous bois, mais sur un sentier agréable où les épines de sapin amortissent nos pas.
Voilà Maryvonne qui rejoint le groupe, elle a marché si vite qu’elle est allée jusqu’au col avant de redescendre par la Glacière.
Repas agréable en terrasse au menu : charcuterie, « bougnettes » et salade verte, fromage et dessert.
Une journée agréable ou convivialité à rimé avec amitié, comme toujours.
02 Août
Le Mont Billat 1894m
C’est depuis le col de Terramont que nous allons maintenant randonner, nous sommes rentés chez nous à Habère Poche.
Sous un ciel d’azur et un soleil ardent nous partons direction Bellevaux et les chalets de Buchilles 1435m.
Un large chemin jeepable traverse le versant ouest du Mt Billat et nous conduit rapidement aux chalets du Pertuis 1587m.
Le sentier se fait alors beaucoup plus raide godillant au milieu des alpages couverts d’une multitude de fleurs de toutes les couleurs. Se courbant sur notre passage, elles font une haie d’honneur comme pour nous inviter à monter plus rapidement.
Belle anémone effeuille tes graines aillées, brise légère disperse les au gré de ton humeur dans cette nature luxuriante et au printemps prochain nous viendrons admirer tes nouvelles corolles soufrées.
Dés le premier épaulement herbeux atteint le pilier Jotty et le pointe Blanche hissent leurs faces abruptes, puis le sentier traverse une forte pente herbeuse ou la vigilance est de mise, surtout si l’on craint le vide. Pour sécuriser notre progression dans cette face herbe très pentue des câbles et des chaines sont là.
Au deuxième épaulement continuons sur la gauche par un sentier assez large mais en arrête et atteignons ainsi rapidement le sommet.
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Dés que l’on commence la dernière pente sommitale les fleurs se font plus rares, leurs tiges plus courtes, leurs feuilles plus rabougries. Elles s’adaptent à la montagne à son climat parfois rude avec humilité. Faisons de même, adaptons nous, respectons là elle nous respectera, mais ne s’adaptera pas, c’est à nous de le faire.
La vue au sommet, même si son altitude reste modeste, est un 360° à couper le souffle. Par cette belle journée chaude et ensoleillée, la première depuis notre arrivée en Hte Savoie, c’est un véritable plaisir d’admirer ce panorama époustouflant. Le Mont Blanc scintille de mille feux sous ce soleil radieux, la chaine s’étire fièrement, le Lac Léman encore un peu brumeux semble si proche qu’il pourrait refléter notre silhouette au sommet.
La vue s’étire du Jura et lac Léman au Chablais dans toute sa splendeur (dent d’Oche, Cornettes de bise, Mt Chauffé, Mt Grange, Dents Blanches) au Mt Blanc enneigé et à la Pointe Percée, sans oublier au premier plan tout l’imposant Massif du Roc d’Enfer.
Les vallées verdoyantes en contrebas cachent villes et villages.
Tout en contemplant cet immense panorama très varié, nous mangerons notre casse croûte puis redescendrons sur premier épaulement où nous ferons une grande pause.
Arrivés aux chalets du Pertuis poursuivrons en face pour accéder à la Grande Point des Journées 1722m.
La Grande pointe des Journées vue à mi pente du Mont billat.
Redescente par le même itinéraire jusqu’à la voiture.
Une petite randonnée mais que du bonheur même si la montée fût un peu rude.
03 Août :
La Pointe Tréchauffé 1627m
Nous voilà aux chalets de Trechauffé à 11h30 (1258m).
Est-ce l’heure de partir en montagne !!!!
En effet le temps était si incertain que nous avons longuement hésité, mais la balade étant relativement courte nous partons confiant espérant passer entre les gouttes.
Montée rapide en lacets serrés sur un sentier bien marqué et un itinéraire balisé, d’abord en sous bois de feuillus puis en alpage et enfin en sous bois jusqu'au col de l'Aiguille. Mon pouls s’accélère et mes pas se ralentissent…
Un passage fort raide et très glissant est équipé d’une volée d’escalier métallique sécurisant ainsi le passage.
Le terrain gras et glissant demande un peu d’attention, mais nous voilà rapidement au sommet.
C’est un point de vue merveilleux sur qui surplombe d’un côté le lac Léman de l’autre de Jotty, les gorges de la Dranse et les sommets du Chablais.
Quelques rayons insolents rayons de soleil filtrent à travers les nuages nous laissant tout à loisir de déguster notre casse croute.
Nous rebroussons chemin et reprenons le sentier pentu et glissant jusqu'au Col de la Crottaz qui offre une vue imprenable sur la Dent d'Oche, les Cornettes de Bise, le Mont Chauffé et au fond les Dents du Midi.
Le sentier perd alors rapidement de l’altitude pour arriver au col de Nicodex et les chalets du Poisat blottis sous le mont Ouzon.
Dans ce jardin alpin très fleuri nous suivrons un grand chemin carrossable jusqu’à l’intersection qui nous conduira rapidement aux chalets de Tréchauffé et le tour est terminé.
Il est tôt irons prendre notre thé et café à la « Chévrerie » où nous dégusterons une tarte aux framboises. Rencontre avec les biquettes peu farouches issues de la race alpine"chamoisée" qui donnent un lait très riche transformé rapidement en chevrotin qui depuis 2001 est de venu le quatrième AOC après l'Abondance, le Reblochon et le Beaufort.
Les chalets de Tréchauffé présentent les caractéristiques typiques des chalets du Chablais à savoir une partie inférieure en pierres locales l'autre partie en bois. Traditionnellement le bas était réservé séparemment aux hommes et aux bêtes et le haut aux foins.
La Pointe Tréchauffé depuis le bas.
05 Août :
Le Mont Billat remake
Sans le soleil et la très beau panorama mais avec nos amies Cathy et Isabelle qui ont malgré tout apprécié la balade.
Suivez nous maintenant à Yvoire....